Un laboratoire de contrôle interne : la solution ?
À ce jour, la structure ne souhaite pas investir dans un laboratoire de contrôle interne.
- La gamme importante de produits très différents et parfois volatile bloque souvent la rationalisation des contrôles internes : en effet, l’analyse de certaines substances et de certains contaminants sont propres à chaque référence.. Difficile en l’état d’investir dans du matériel d’analyse, des méthodes, du consommable, du recrutement surtout si cette expertise est disponible en externe.
- Peu ou pas d’analyses pendant la fabrication des produits car des process de validation et de qualification des matières premières permettent un contrôle in fine.
- Les DLUO suffisamment longues permettent d’envisager une libération après contrôles plus tardive que dans l’ultra-frais par exemple, ce qui autorise des délais d’analyses plus longs
- Sous traiter les analyses permet une absorption des charges au plus près de l’activité.
L'envie de résoudre les problèmes
- L’activité de contrôle est éclatée sur différents supports de suivi, de consultation et de stockage.
- L’activité manque d’automatisation au niveau des tâches inhérentes aux analyses de contrôles.
- Le suivi des analyses externes et des échéances est difficile.
- L’activité ne capitalise pas suffisamment sur l’ensemble des données qu’elle traite et qu’elle génère.
Cette entreprise souhaite simplifier son process de contrôle, augmenter son niveau de performance et démontrer sa capacité à contrôler efficacement ses produits.
À ce jour, les solutions proposées telle que la G.E.D (Gestion Electronique des Documents) sont trop positionnées sur le cycle de vie documentaire et la gestion de la qualité mais pas assez sur la partie opérationnelle du contrôle.
La plupart des LIMS quant à eux, sont eux bien trop puissants et utilisés pour le traitement analytique d’un échantillon dans un laboratoire (allocation multi ressources et workflows).
Comment gérer facilement le cycle des contrôles, le suivi des analyses tout en augmentant son potentiel d’expertise avec de nombreux laboratoires externes ?
Vers un "laboratoire digital" ?
Non, pour l’instant ce n’est pas encore un laboratoire dirigé par une intelligence artificielle et des robots (quoique, ce n’est peut-être pas si loin…).
Le principe est de pouvoir gérer vos spécifications, automatiser vos contrôles, vos plans périodiques et de bénéficier de l’expertise de nombreux sous-traitants que vous fédérez dans une application en mode SaaS. C’est le laboratoire ultime pour vos besoins d’aujourd’hui et ceux à venir. Le volume de prestataires à gérer n’est plus un frein, c’est un accélérateur !
- Identifiez et enregistrez de futurs partenaires.
- Allouez chaque analyse à un spécialiste.
- Combinez plusieurs laboratoires pour la même analyse, choisissez l’expert sur votre matrice, comparez vos fournisseurs et les laboratoires entre eux.
- Suivez facilement l’intégralité de vos analyses, et pilotez la gestion de vos lots.
- Construisez et exploitez votre capital analytique.
En gérant facilement un large panel de sous-traitants, vous anticipez de futurs besoins et vous démontrez surtout dès maintenant que vos analyses sont :
- fiables
- robustes
- impartiales
Faites de vos résultats d’analyses la force de vos produits, un véritable outil prédictif et un levier d’amélioration.
En conclusion
Finalement, à cette question de départ : Ai-je besoin d’un LIMS pour gérer l’externalisation de mes analyses ? la réponse est raisonnablement : non.
Vous n’utiliseriez qu’une infime partie de ce que la puissance d’un LIMS peut offrir ! Les LIMS sont résolument tournés vers l’organisation d’un laboratoire interne.
💡 CIKlab, dont le principe de fonctionnement est assez proche d’un LIMS est quant à lui clairement ouvert sur l’extérieur. Il vous permet de concevoir VOTRE laboratoire digital… c’est celui que vous construirez avec des laboratoires spécialistes et qui changera aujourd’hui le quotidien de votre organisation !